India: Tata’s search for a new CEOB

India: Tata’s search for a new CEO
By Joe Leahy in Munbai
Mr Tata, Chairman of India’s biggest company, is expected to retire – yet again – in two years. But this time things look different. The group appears ready to move on, formally announcing last month that it has set up a special committee to look for a new CEO.
Instead of simply choosing the most obvious successor, the group has said it will consider all candidates for India’s biggest corporate job. In a country where companies are often controlled by influential families, the idea of an outsider, particularly a foreigner, controlling a group of Tata’s size and reputation is revolutionary.
At risk is more than the future of the Tata Group, though this is very important to the national economy. With its 100 subsidiaries – including India’s biggest information – technology outsourcing company and its biggest automotive producer – it is also the country’s first true multinational, with 65 per cent of its $71bn in revenue generated overseas.
Analysts question whether Tata can create an example for corporate India of orderly transition from family leadership to professional management. “There’s a feeling if an outsider, especially a foreigner, took over a group as complex as Tata, it would be disastrous,” says a banker who knows the company.
However, some critics argue that introducing professionals would help to break down a reputation for weak management in large, family – run companies.

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Inde : Rechercher de Tata un nouveau directeur généralPar Joe Leahy dans MunbaiM. Tata, plus grande entreprise du Président de l'Inde, devrait prendre sa retraite – encore une fois-dans deux ans. Mais cette fois-ci les choses semblent différentes. Le groupe semble prêt à passer, annonçant officiellement le mois dernier qu'il a mis en place un Comité spécial pour chercher un nouveau directeur général.Au lieu de simplement choisir le successeur de plus évident, le groupe a dit qu'il examinera tous les candidats pour le plus grand travail d'entreprise de l'Inde. Dans un pays où les entreprises sont souvent contrôlés par des familles influentes, l'idée d'un outsider, notamment étranger, contrôle un groupe de taille et de la réputation de Tata est révolutionnaire.À risque est plus que l'avenir du groupe Tata, mais c'est très important pour l'économie nationale. Avec sa compagnie de sous-traitance de technologie de 100 filiales, y compris les informations plus grandes de l'Inde et son plus grand producteur automobile – c'est aussi première multinationale véritable du pays, avec 65 % de ses 71bn $ en revenus générés à l'étranger.Analystes en question si Tata peut créer un exemple d'entreprise Inde de transition ordonnée de direction familiale de gestion professionnelle. « Il y a un sentiment si un étranger, surtout un étranger, a repris un groupe aussi complex que Tata, il serait désastreux, » dit un banquier qui connaît la société.Cependant, certains critiques soutiennent que présentant des professionnels aiderait à briser une réputation pour la gestion faible dans une famille nombreuse, – exécuter des entreprises.